Afin de promouvoir la paix et la biodiversité, il faut parfois avoir les « yeux plus gros que le ventre ». Depuis une dizaine d’années, je suis impliqué dans un magnifique projet au Proche-Orient, qui combine réconciliation entre populations en conflit et protection de l’environnement. Il a pour cadre Israël, les territoires palestiniens occupés et la Jordanie et consiste à favoriser la coopération de ces trois pays pour protéger la nature qu’ils partagent. Déployer des mesures de conservation au niveau national est en effet insuffisant, puisque la nature ne connaît pas de frontières.  

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